Un sac d’évacuation est un kit d’urgence qui permet de fuir en un éclair avec le nécessaire vital en cas de danger immédiat. Le sac d’évacuation est aussi appelé « bug-out-bag » (BOB), kit de survie 48 ou 72h, etc. Les services de sécurité civile du monde entier préconisent de préparer un kit d’urgence par personne dans chaque foyer.
Le sac d’évacuation est le premier système de résilience que vous allez assembler et le plus important de tous. Le but est de constituer un sac qui contiendra tous vos documents administratifs importants et du matériel utile en cas de départ précipité. Le sac d’évacuation n’est pas un sac spécialisé : il est conçu pour tous les cas d’urgences absolues.
Si notre naïveté tend à nous laisser croire que nous aurons le temps de nous organiser avant une crise grâce à des signes avant-coureurs, la réalité est bien plus brutale.
Les situations qui semblent n’arriver qu’aux autres surprennent des milliers de personnes chaque jour : catastrophes naturelles et industrielles, attentats terroristes, incendies domestiques, etc. Personne n’est à l’abri de devoir quitter son domicile en urgence mais très peu de gens y sont préparés.
Assembler un sac d’évacuation personnalisé demande du temps et une analyse lucide des dangers concrets auxquels on peut faire face.
Un sac d’évacuation sérieux doit inclure suffisamment de vivres pour subsister 48 ou 72 heures mais également contenir du matériel utile pour se protéger et s’alimenter si la situation perdure. Assembler son kit de survie relève pour chacun d’une réflexion individuelle sur ses besoins spécifiques : limite de poids à ne pas dépasser, traitements médicamenteux à inclure, environnement (urbain ou rural, bord de mer, etc.).
Si vous n’avez pas envie de construire un sac d’évacuation complet (chacun est libre de prendre les risques qu’il souhaite), procédez au moins à la phase de sauvegarde administrative et financière.
Un sac d’évacuation est un kit d’urgence qui permet de fuir en un éclair avec le nécessaire vital en cas de danger immédiat. Le sac d’évacuation est aussi appelé « bug-out-bag » (BOB), kit de survie 48 ou 72h, etc. Les services de sécurité civile du monde entier préconisent de préparer un kit d’urgence par personne dans chaque foyer.
Le sac d’évacuation est le premier système de résilience que vous allez assembler et le plus important de tous. Le but est de constituer un sac qui contiendra tous vos documents administratifs importants et du matériel utile en cas de départ précipité. Le sac d’évacuation n’est pas un sac spécialisé : il est conçu pour tous les cas d’urgences absolues.
Si notre naïveté tend à nous laisser croire que nous aurons le temps de nous organiser avant une crise grâce à des signes avant-coureurs, la réalité est bien plus brutale.
Les situations qui semblent n’arriver qu’aux autres surprennent des milliers de personnes chaque jour : catastrophes naturelles et industrielles, attentats terroristes, incendies domestiques, etc. Personne n’est à l’abri de devoir quitter son domicile en urgence mais très peu de gens y sont préparés.
Assembler un sac d’évacuation personnalisé demande du temps et une analyse lucide des dangers concrets auxquels on peut faire face.
Un sac d’évacuation sérieux doit inclure suffisamment de vivres pour subsister 48 ou 72 heures mais également contenir du matériel utile pour se protéger et s’alimenter si la situation perdure. Assembler son kit de survie relève pour chacun d’une réflexion individuelle sur ses besoins spécifiques : limite de poids à ne pas dépasser, traitements médicamenteux à inclure, environnement (urbain ou rural, bord de mer, etc.).
Si vous n’avez pas envie de construire un sac d’évacuation complet (chacun est libre de prendre les risques qu’il souhaite), procédez au moins à la phase de sauvegarde administrative et financière.
Le sac d’évacuation contient un kit d’urgence réparti en modules pour une accessibilité accrue. Il ne faut pas hésiter à regrouper les items dans des pochettes ou sacs Ziplock pour les organiser de façon pratique et logique.
Les vêtements peuvent être compactés sous vide ou pliés en Ranger roll pour gagner de la place. Il est important de veiller à ce que les éléments les plus sollicités (eau, lampes, outils, trousse de secours) soient les plus accessibles en les placant dans les poches d’accès rapide sur le devant et sur le côté du sac.
Les objets les plus volumineux (sac de couchage par exemple) doivent être déportés à l’extérieur du sac à l’aide des sangles de serrage pour éviter une perte d’espace conséquente.
Le sac d’évacuation contient un kit d’urgence réparti en modules pour une accessibilité accrue. Il ne faut pas hésiter à regrouper les items dans des pochettes ou sacs Ziplock pour les organiser de façon pratique et logique.
Les vêtements peuvent être compactés sous vide ou pliés en Ranger roll pour gagner de la place. Il est important de veiller à ce que les éléments les plus sollicités (eau, lampes, outils, trousse de secours) soient les plus accessibles en les placant dans les poches d’accès rapide sur le devant et sur le côté du sac.
Les objets les plus volumineux (sac de couchage par exemple) doivent être déportés à l’extérieur du sac à l’aide des sangles de serrage pour éviter une perte d’espace conséquente.
Le sac d’évacuation peut contenir un module d’urgence spécialisé pour faire face à un risque spécifique. Selon votre situation, vous voudrez peut-être étoffer votre kit de survie avec du matériel adapté aux conditions : catastrophe naturelle ou industrielle, accident nucléaire, etc.
Le sac d’évacuation peut contenir un module d’urgence spécialisé pour faire face à un risque spécifique. Selon votre situation, vous voudrez peut-être étoffer votre kit de survie avec du matériel adapté aux conditions : catastrophe naturelle ou industrielle, accident nucléaire, etc.
Un kit de survie peut vite devenir très lourd, qu’il soit prévu pour 48 ou 72h. La limite de poids acceptable des sacs est communément fixée à 25% du poids du porteur.
Pour un homme de 80kg cela représente déjà 20kg ce qui est énorme, en particulier lorsqu’on a pas l’habitude de supporter des charges lourdes et qu’on doit courir ou marcher longtemps. Et c’est encore pire si on a subi des blessures en prenant la fuite.
Pour rester mobile et éviter un épuisement trop rapide pouvant mener à des blessures (genoux, chevilles, lombaires, etc.) j’ai défini le poids maximal de mon kit de survie 72h à 12kg. Cela exige des concessions sur la quantité de matériel emporté et la recherche des outils le plus efficaces et légers possibles.
Le sac d’évacuation est tout sauf un fourre-tout où on empile des objets qui peuvent servir. Dans les moments d’urgence où la situation est tendue et incertaine, le contenu du sac doit être accessible rapidement et de façon logique.
Il est hors de question de devoir retourner le sac pour accéder au matériel dont on a absolument besoin et qui est enfoui tout au fond.
Plus votre corps est faible ou peu endurant, plus vous devez privilégier un emport minimal axé sur les vivres et la protection corporelle.
Il est primordial de prévoir l’emport des médicaments dont votre santé dépend (pilules pour le cœur, traitement de maladies auto-immunes, insuline, etc.).
La présence d’un bébé ou d’enfants en bas âge exige l’emport de tout le matériel de puériculture nécessaire. L’emport en est souvent doublé de poids et de volume.
Il est plus judicieux de prévoir un bagage sur roulettes de petite taille plutôt que de chercher à tout faire rentrer dans un même sac à dos.
Pour fuir une catastrophe il faut éviter de foncer tête baissée vers une autre. Envisager de se réfugier chez de la famille ou des amis situés à quelques kilomètres de chez soi et fuir vers une région différente sont deux choses qui n’ont rien à voir.
De même, si vous possédez un véhicule dont les circonstances permettent l’utilisation, la capacité d’emport sera bien plus grande et votre situation sera très différente de celle de quelqu’un qui n’en a pas.
Selon les circonstances il peut être avisé d’empaqueter son kit de survie dans un sac d’évacuation passe-partout. Les équipements tactiques sont intéressants à bien des égards mais, dans certaines situations, ils présentent le risque d’attirer l’attention de personnes malintentionnées.
En cas d’évacuation pour des causes classiques (inondations par exemple) la question ne se pose pas, mais dans les cas de troubles civils cela peut attirer les regards et faire de vous une cible privilégiée. Cela dit, un sac de randonnée est-il vraiment plus discret ? Chacun sera libre de mener sa réflexion sur le sujet.
Mon avis : aucun problème pour utiliser du matériel tactique du moment qu’on ne barde pas son sac de patchs militaires. Privilégier les couleurs sombres (noir, gris, vert olive) à moins de se préparer à un risque de catastrophe naturelle où des couleurs vives (jaune, rouge) pourront aider les secours à vous localiser.
Fuyez les kits de survie low-cost. Le matériel de survie contenu dans votre sac d’évacuation est sélectionné pour vous sauver la vie. Si vous y tenez, achetez du matériel sérieux réputé fiable et apprenez à vous en servir.
Ce n’est pas en mourant de soif qu’il faudra réaliser que votre filtre à eau ne filtre rien, ni en grelottant de froid de découvrir que votre briquet s’est vidé tout seul et que votre couverture de survie fait la taille d’un timbre poste.
Un kit de survie peut vite devenir très lourd, qu’il soit prévu pour 48 ou 72h. La limite de poids acceptable des sacs est communément fixée à 25% du poids du porteur.
Pour un homme de 80kg cela représente déjà 20kg ce qui est énorme, en particulier lorsqu’on a pas l’habitude de supporter des charges lourdes et qu’on doit courir ou marcher longtemps. Et c’est encore pire si on a subi des blessures en prenant la fuite.
Pour rester mobile et éviter un épuisement trop rapide pouvant mener à des blessures (genoux, chevilles, lombaires, etc.) j’ai défini le poids maximal de mon kit de survie 72h à 12kg. Cela exige des concessions sur la quantité de matériel emporté et la recherche des outils le plus efficaces et légers possibles.
Le sac d’évacuation est tout sauf un fourre-tout où on empile des objets qui peuvent servir. Dans les moments d’urgence où la situation est tendue et incertaine, le contenu du sac doit être accessible rapidement et de façon logique.
Il est hors de question de devoir retourner le sac pour accéder au matériel dont on a absolument besoin et qui est enfoui tout au fond.
Plus votre corps est faible ou peu endurant, plus vous devez privilégier un emport minimal axé sur les vivres et la protection corporelle.
Il est primordial de prévoir l’emport des médicaments dont votre santé dépend (pilules pour le cœur, traitement de maladies auto-immunes, insuline, etc.).
La présence d’un bébé ou d’enfants en bas âge exige l’emport de tout le matériel de puériculture nécessaire. L’emport en est souvent doublé de poids et de volume.
Il est plus judicieux de prévoir un bagage sur roulettes de petite taille plutôt que de chercher à tout faire rentrer dans un même sac à dos.
Pour fuir une catastrophe il faut éviter de foncer tête baissée vers une autre. Envisager de se réfugier chez de la famille ou des amis situés à quelques kilomètres de chez soi et fuir vers une région différente sont deux choses qui n’ont rien à voir.
De même, si vous possédez un véhicule dont les circonstances permettent l’utilisation, la capacité d’emport sera bien plus grande et votre situation sera très différente de celle de quelqu’un qui n’en a pas.
Selon les circonstances il peut être avisé d’empaqueter son kit de survie dans un sac d’évacuation passe-partout. Les équipements tactiques sont intéressants à bien des égards mais, dans certaines situations, ils présentent le risque d’attirer l’attention de personnes malintentionnées.
En cas d’évacuation pour des causes classiques (inondations par exemple) la question ne se pose pas, mais dans les cas de troubles civils cela peut attirer les regards et faire de vous une cible privilégiée. Cela dit, un sac de randonnée est-il vraiment plus discret ? Chacun sera libre de mener sa réflexion sur le sujet.
Mon avis : aucun problème pour utiliser du matériel tactique du moment qu’on ne barde pas son sac de patchs militaires. Privilégier les couleurs sombres (noir, gris, vert olive) à moins de se préparer à un risque de catastrophe naturelle où des couleurs vives (jaune, rouge) pourront aider les secours à vous localiser.
Fuyez les kits de survie low-cost. Le matériel de survie contenu dans votre sac d’évacuation est sélectionné pour vous sauver la vie. Si vous y tenez, achetez du matériel sérieux réputé fiable et apprenez à vous en servir.
Ce n’est pas en mourant de soif qu’il faudra réaliser que votre filtre à eau ne filtre rien, ni en grelottant de froid de découvrir que votre briquet s’est vidé tout seul et que votre couverture de survie fait la taille d’un timbre poste.
Votre sac de survie doit être raisonnablement léger et compartimenté. Les sacs tactiques haut de gamme en cordura 1050 deniers sont très résistants mais très lourds (1,3kg pour 25L à vide). A l’inverse, certains sacs de randonnée sont très légers mais se déchirent très facilement.
La partie du sac en contact avec votre dos doit être rembourrée et ventilée correctement pour éviter les douleurs et une sudation excessive. Les sacs sans système dorsal doivent être évités : le contenu du sac risque de vous blesser le dos et vous aurez rapidement des difficultés à supporter le poids du kit de survie.
Le litrage du sac d’évacuation est relatif à l’emport pour une durée définie. Un sac de 30L est un minimum. Un kit de survie complet pour 72h trouvera sa place dans un sac de 40 à 60L en fonction de vos besoins. Dépasser cette capacité pose le problème du poids à supporter dans des conditions hostiles.
J’aime les protections amovibles de couleur sombre ou vive car elles sont efficaces, faciles à utiliser et permettent de masquer l’allure du sac ou de se rendre visible en cas de besoin. Elles présentent l’inconvénient d’entraver l’ouverture des sacs qu’elles recouvrent mais s’enlèvent en un clin d’oeil.
Conception des bretelles
Un sac d’évacuation chargé peut vite devenir douloureux si les bretelles ne sont pas rembourrées suffisamment. Si ces dernières ne sont pas conçues ou cousues correctement, elles se déchireront rapidement et vous devrez porter votre sac sur une épaule ou à la main, ce qui sera une punition.
Les sacs 100% waterpoof sont séduisants sur le papier mais présentent le désavantage majeur d’être des top-loaders pour des raisons d’étanchéité (ouverture sur le haut donc difficulté d’accès au matériel qui est au fond du sac). A réserver aux marins et aux zones à très haut risque d’inondations.
Ceinture abdominale
La ceinture abdominale évite au sac de se balancer de manière intempestive et aide à répartir la charge. Elle peut s’avérer indispensable dans certains cas et doit être résistante. Si vous prévoyez un sac lourd et volumineux (40L et plus), elle sera nécessaire pour équilibrer le sac et pour votre confort.
Les poches d’hydratation ne sont pas adaptées à une utilisation en situation dégradée. Nids à bactéries difficiles à nettoyer dans des conditions hostiles, elles sont à éviter dans un sac d’évacuation. En revanche, l’espace prévu pour elles dans les sacs est parfait pour stocker une gourde souple ou des documents.
Le choix du sac à dos dédié à l’évacuation peut vite devenir cornélien : il est très difficile de trouver un modèle alliant un gros volume, une bonne conception et une esthétique passe-partout.
Je sais qu’il est tentant d’acheter un sac bon marché autour de 50€ pour consacrer le plus gros budget au matériel de survie qui ira dedans mais c’est une grave erreur : un sac qui ne tient pas la route vous la transformera en calvaire.
J’avais initialement prévu de vous présenter 4 à 6 sacs adaptés mais après avoir mûrement étudié la question, je ne vais vous en présenter qu’un seul : celui qui remplit tous les critères que nous avons vu.
Le sac 5.11 Tactical RUSH 72 a été spécialement étudié pour un emport de 3 jours. Il propose un volume de 50L, est compartimenté intelligemment avec plus de 30 rangements individuels et possède des poches d’accès rapide (ce qui devient rare sur des contenances supérieures à 30L, les sacs adoptant généralement une conception tubulaire avec un seul compartiment).
Il est confortable, très résistant et doté d’une ceinture de maintien abdominal. De tous les sacs que je possède, c’est sans conteste le plus pratique et le seul à me permettre de caser toutes mes affaires en cas d’évacuation pour une durée prolongée.
C’est une valeur sûre et le choix idéal pour un sac d’évacuation : son volume permet de placer tout son matériel sans risquer de manquer de place.
Le choix du sac à dos dédié à l’évacuation peut vite devenir cornélien : il est très difficile de trouver un modèle alliant un gros volume, une bonne conception et une esthétique passe-partout.
Je sais qu’il est tentant d’acheter un sac bon marché autour de 50€ pour consacrer le plus gros budget au matériel de survie qui ira dedans mais c’est une grave erreur : un sac qui ne tient pas la route vous la transformera en calvaire.
J’avais initialement prévu de vous présenter 4 à 6 sacs adaptés mais après avoir mûrement étudié la question, je ne vais vous en présenter qu’un seul : celui qui remplit tous les critères que nous avons vu.
Le sac 5.11 Tactical RUSH 72 a été spécialement étudié pour un emport de 3 jours. Il propose un volume de 50L, est compartimenté intelligemment avec plus de 30 rangements individuels et possède des poches d’accès rapide (ce qui devient rare sur des contenances supérieures à 30L, les sacs adoptant généralement une conception tubulaire avec un seul compartiment).
Il est confortable, très résistant et doté d’une ceinture de maintien abdominal. De tous les sacs que je possède, c’est sans conteste le plus pratique et le seul à me permettre de caser toutes mes affaires en cas d’évacuation pour une durée prolongée.
C’est une valeur sûre et le choix idéal pour un sac d’évacuation : son volume permet de placer tout son matériel sans risquer de manquer de place.
POUR APPROFONDIR LE SUJET :
POUR APPROFONDIR LE SUJET :
Tout pour vous préparer aux situations de crises : sauvegardes administratives, assemblage du sac d’évacuation, stocks de survie, radiocommunications, etc.
Tout pour vous préparer aux crises : sauvegardes administratives, sac d’évacuation, stocks de survie, radiocoms, etc.