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Si vous naviguez sur résilience urbaine c’est que vous cherchez à protéger vos proches des dangers et des aléas de la vie. Je n’aime pas les étiquettes et je me vois comme un protecteur plutôt que comme un survivaliste, mais il faut bien nommer les choses pour que quelqu’un les trouve et les lise.
Devenir un protecteur implique un conditionnement mental et une capacité de violence dont tout le monde n’est pas capable. C’est pour cette raison qu’on classe communément les gens dans 3 catégories distinctes : les loups, les moutons et les chiens de berger.
Ce classement est évidemment réducteur face à la complexité de l’âme humaine mais il a l’avantage de schématiser efficacement le rapport proie/prédateur dans notre société.
Les moutons
La plupart des gens sont des moutons (sans connotation péjorative). Ils aiment la paix et la tranquillité et ne cherchent pas à nuire à leur prochain. Face au mal, leur faiblesse est d’être gentils et doux de nature.
Pour la plupart, les gens font face à des problèmes qui sont plus des ennuis que de véritables drames. Lorsqu’ils sont confrontés à un conflit, ils essaient généralement d’éviter de faire des vagues et de faire preuve d’un comportement prosocial.
Si ce comportement est louable et civilisé, il n’est pas adapté pour faire face à un prédateur dénué de morale comme je l’explique dans mon article sur la gestion de la violence. Il est malheureusement peu probable que les moutons se montrent à la hauteur de la situation en cas de danger de vie ou de mort.
Ils ne savent tout simplement pas comment gérer les personnes perverses et dangereuses car, pour la plupart, ils ne rencontrent pas et n’interagissent pas avec ce type de personnalités dans leur vie de tous les jours. Comme les moutons, ils ne peuvent imaginer quoi que ce soit qui perturbe leur paix et leur routine et imaginent que chaque jour se déroulera comme celui qui l’a précédé.
Ils dépendent de quelqu’un d’autre pour les protéger, qu’il s’agisse d’un bon samaritain, de la police ou de l’armée en fonction du degré de gravité de la situation.
Les loups
Les loups sont des prédateurs. Rebus de la société, sociopathes affichés ou psychopathes discrets, ils portent le mal en eux par nature et se nourrissent de la souffrance des autres. Les loups n’obéissent à aucun code moral et ne valorisent ni les valeurs socles de la société (respect des lois et des gens, bienveillance, tolérance, acceptation, mérite, etc.) ni la vie elle-même.
Ce sont des voleurs, des violeurs et des assassins au comportement violent qu’on ne raisonne pas. Seuls ou en meute, leur seul objectif est de nourrir leur haine intérieure autant qu’ils le peuvent en s’attaquant aux autres, qu’ils savent peu préparés à affronter la violence dont eux sont capables.
Les chiens de berger
Les chiens de berger sont les protecteurs de la société et viennent équilibrer la balance entre les moutons et les loups. Comme les moutons, les chiens de berger aiment la paix. Cependant, ils voient le mal qui sévit sur Terre et savent que les loups rôdent en permanence.
Ces protecteurs n’ont pas soif de violence mais connaissent le mal et n’hésitent pas à user de la force si la situation l’exige : ce sont les prédateurs des prédateurs.
Le rôle des chiens de berger humains est presque exactement le même que celui de leurs homologues canins. Comme de vrais chiens de berger, ils vivent parmi le troupeau. Ils font partie du groupe des moutons mais ont une fonction distincte. Ils protègent le périmètre et surveillent avec vigilance les prédateurs.
Qu’ils soient civils ou membre des forces de l’ordre, ils sont prêts à affronter les loups. Les protecteurs sont des individus capables d’user de violence modérée comme léthale mais ont une boussole morale, de fortes valeurs et un amour profond de ce qu’ils défendent.
Leur endurance et leur courage leur donnent la capacité de marcher au cœur des ténèbres, d’affronter la folie humaine et d’en revenir indemnes. Il y aurait beaucoup à dire sur la psychologie des protecteurs. Certains pensent qu’ils ne valent pas mieux que les loups. Quoi qu’il en soit, leur présence est indispensable pour la sécurité du troupeau, qui perd parfois de vue ce qui est bon pour lui…
Les moutons trouvent les chiens de berger ennuyeux quand tout va bien. Mais quand ils ont besoin de protection, ils sont toujours contents d’être aidés par le voisin courageux ou les policiers qu’ils méprisaient la veille.
Dave Grossman, l’auteur du livre On killing dont je vous parlais dans mon article sur la légitime défense estime que 98% des gens sont des moutons, et les 2 autres pourcents répartis entre les loups et les chiens de berger.
Devenir un protecteur : du mouton au chien de berger

Le chevalier, la Mort et le Diable d’Albrecht Dürer
La frontière est souvent fine entre les moutons et les chiens de bergers, tout comme elle peut l’être entre les moutons et les loups. Certaines personnes vivent aux extrémités du spectre et basculent un jour d’un côté ou de l’autre. La plupart des gens se situe quelque part entre les deux.
Je pense qu’il est important de casser l’image de super-héros généralement véhiculée par le terme de chien de berger. Être un protecteur ne signifie pas nécessairement mesurer 190cm pour 100kg de muscles, ni avoir passé 15 ans dans les forces spéciales.
C’est avant tout un état d’esprit et un conditionnement mental qui nécessite d’apprendre le mal pour savoir l’identifier, l’utiliser et le combattre. Le mal ne s’exprime pas que par la violence physique : il peut être financier, politique, social…il est donc important d’avoir des protecteurs dans chaque strate de la société pour démasquer et le combattre partout où il se trouve.
Être un chien de berger n’est pas une question de naissance : c’est un choix – une question d’entraînement mental et physique. Notre éducation et notre société française moderne et civilisée (même si elle l’est de moins en moins) nous câblent psychologiquement et sociologiquement pour devenir des moutons, ce qui fait de nous des proies face aux changements démographiques et idéologiques du 21e siècle.
La démarche survivaliste entre totalement dans le spectre de la protection : toutes vos actions et vos apprentissages vous mènent vers la voie du protecteur, qu’il s’agisse de garantir la subsistance de votre famille comme sa défense avec le concept de l’homme gris et l’apprentissage des armes.
Si vous voulez être un chien de berger et avoir la capacité de protéger votre famille et vos proches des loups et du mal qui se rapproche, vous devez mettre à niveau votre matériel mental, physique et émotionnel pour évoluer du stade de proie à celui de protecteur.
Nos familles, notre pays et les générations futures ont plus que jamais besoin d’hommes prêts à affronter le danger et à résister au mal pour sauver l’avenir de nos enfants. Le monde a besoin de vous et de votre courage.
Préparez-vous. Devenez un protecteur.
Légendat
Salut Légendat,
Joli article, même s’il simplifie beaucoup l’architecture des sociétés, en temps d’urgence il faut aller au plus simple.
En plus de pratiquer le maniement des armes (qui est un art martial en soi), il faudrait pratiquer 3 à 4 fois par semaine un art martial corps à corps où l’on peut faire des combats de manière contrôlée pour vraiment expérimenter de manière sûre la violence et la souffrance (à plus petite échelle certes). Par exemple, la boxe thaï ou la lutte/judo/ju-jitsu est franchement un bon choix. C’est pas forcément pour s’en servir en cas de guerre mais celà forge l’esprit (gestion des émotions en situation extrême) et le corps (endurance, force, résistance) comme tu le dis dans ton article, et psychologiquement je trouve que ça aide au moins un peu lors d’une situation réelle. Ça endurcit énormément.
Tout ça dans mon humble opinion et expérience bien sûr
Pratiques-tu un art martial autre que le combat avec armes à feu ?
Salut Alex, en effet pratiquer un sport de combat est un plus mais tout le monde ne peut/veut pas, c’est pour ça que j’insiste sur le fait que chacun doit œuvrer à son niveau. Si chaque père et mère de famille commençait à veiller correctement sur les siens, ce serait déjà un bon début. Pour ma part j’ai pratiqué des sports de combat (boxe française en particulier) mais ce n’est plus le cas aujourd’hui par manque de temps et d’intérêt aussi. Je suis d’accord sur le fait que ça apprenne à prendre des coups, en revanche pour la gestion du stress je crois que rien ne vaut de se retrouver face au danger de façon répétée… de mon expérience, ce n’est qu’en ayant subi une pluie de coups assénés pour blesser qu’on développe la capacité à la déchainer avant l’autre par la suite. Chacun est différent…
Très bon article et bien expliqué, c’est une notion très intéressante et très absente chez nous contrairement aux US où les civils sont plus impliqués dans leurs communautés et ont accès au port d’armes dans certains états. Je découvre votre site avec cet article, je sens que je ne vais pas me coucher tôt ce soir vu que j’ai déjà ouvert 15 onglets d’autres articles qui m’intéressent !
En effet, aux Etats-Unis le concept de défense personnelle et communautaire est très encré, notamment grâce au 2ème amendement. Merci du compliment et bonne lecture !
Très beau choix d’illustrations, que Saint Michel veille sur vous Légendat.
Merci !
C’est bien résumé. Le seul point où je suis perplexe c’est le % d’ aliens ( j’adore les loups espèce noble et pleine d’enseignements) que je crois bien supérieur maintenant. La violence gratuite et délibérée est devenue la règle pour une part croissante de la population.
La conclusion est parfaitement d’actualité.
C’est très possible que le pourcentage de véritables « aliens » ait progressé, aggravé par l’émergence d’une population de suiveurs frustrés prêts à tout pour se sentir exister et salir ce qu’ils ne peuvent avoir. Ce qui est certain, c’est que le camp opposé fait grossir ses rangs de manière exponentielle.
Comme il paraît que nous sommes en guerre, pour faire l’apprentissage des armes et devenir un protecteur républicain, on peut aussi s’engager dans la réserve militaire et la Garde nationale.
On recrute hommes et femmes à partir de 17 ans !
C’est vrai et d’un autre côté, il faudrait faire en sorte que les réservistes fassent autre chose que du Vigipirate…
Très bon article comme toujours. JCB survivaliste franco canadien qui a aussi la tête sur les épaules, comme vous, Légendat, fait une émission sur YouTube Radiosurvie, et aussi des live où il invite des collègues. Ce serait bien aussi de vous y voir Légendat, car vous auriez plein de choses intéressantes à dire.
Merci pour l’idée, je la garde dans un coin de ma tête.
Je consulte plein de sites mais Y’a que sur RU que je m’ennuie pas au bout de 5mn de lecture… Merci Légendat d’aborder des sujets aussi variés et continue comme ça
Merci beaucoup pour ce compliment, n’oublie pas de revenir car je prépare des choses qui t’intéresseront à coup sûr…
Salut, excellent article qui résonne parfaitement avec ce que je ressens et ce que j’ai pu observer. Quoique pour ma part, et selon mon expérience personnelle, je dirais que la proportion de loups est bien plus importante.
Le plus important pour nous est de savoir identifier l’adversaire. Être conscient de ce qui se passe autour de nous.
Bonjour Légendat,
Cet article met parfaitement l’accent sur la façon dont les individus sont répartis dans notre société moderne.
Je fais cependant le constat personnel qu’il y a de plus en plus de loups (prédateurs) mais également de plus en plus de moutons (suiveurs) avec le corolaire que ces deux catégories sont nourries et gavées par une médiatisation exacerbée du tout et du n’importe quoi que les réseaux sociaux (véritable fléau de notre siècle) nous servent du matin au soir. Les moutons (social network victims) vivent dans un monde de bisounours dont les artifices n’ont d’égal que leur naïveté et leur niaiserie. Cette état de léthargie intellectuelle dont la majorité de la population est victime en fait par conséquent une proie facile. Les loups l’ont bien compris et peuvent de ce fait élargir leur terrain de chasse plus facilement et dans tous les domaines (cyber attaques, escroqueries, arnaques, harcèlement, manipulations psychiques….).
Qui reste-t-il alors pour empêcher que les loups ne prennent le dessus ? Les chiens de berger en effet. Mais attention, selon moi (je ne suis pas tout à fait d’accord avec toi Légendat sur ce point), ne devient pas chien de berger qui veut. Un Chiwawa ne deviendra jamais un berger Belge Malinois ! Selon moi tu ne deviens pas chien de berger. Tu nais chien de berger car c’est un état d’être et un état d’esprit. Tout au mieux tu pourras inculquer quelques notions à un mouton (self défense, protection personnelle, comment faire un nœud sibérien ou fabriquer une chandelle suédoise….), mais si tu n’as pas cela dans ton ADN, au plus profond de toi, tu en resteras au stade expérimental et théorique et la panique s’emparera à coup sûr du mouton bêlant à la première situation critique. Cela ne fait pas très longtemps que je m’intéresse au survivalisme, la vie en autonomie , la protection personnelle et bien d’autres sujets périphériques. Aussi mes recherches sur le net (qui dans le cas présent constitue une mine d’informations) me confortent vraiment sur le fait qu’il faut bien disposer d’un certain état d’esprit et d’un véritable instinct de protecteur pour pouvoir prétendre faire partie de la catégorie des chiens de berger. Vient bien évidement ensuite la question de la mise en situation, de la confrontation sur le terrain, de l’expérience personnelle qui endurcit, car tous les chiens de bergers n’ont pas forcément encore connu l’épreuve du feu, la situation réelle ou l’expérience qui leur a permis de mettre en pratique ce capital protecteur qui est en eux (attentats, accidents, agressions, catastrophe naturelle..). Personnellement, pour m’y préparer et pouvoir y faire face, je n’ai pas opté pour art martial ou le maniement d’armes à feu qui certes utiles et nécessaires ne répondent qu’à certains aspects de la gestion d’une situation dangereuse ou à risque. Je me suis tout simplement engagé dans une association agréée de secourisme sur Paris (y résidant). C’est à la portée de tout le monde ! Cela m’a permis d’une part d’acquérir un niveau de connaissance et de techniques relativement élevé en matière de 1er secours et également de me confronter à la réalité du terrain à la fois sur le plan physique et psychologique en participant notamment à des gardes (secours et assistance aux victimes) pour le compte de la BSPP (Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris) ou du SAMU. L’expérience acquise ou vécue à ces occasions constituent sans nul doute une préparation efficace lorsqu’il s’agit d’affronter des situations telles que celles décrites plus haut. En ce sens je me décrirais donc plus aujourd’hui comme un chien de berger de type Terre-Neuve avec le petit tonneau d’alcool autour du coup (;-))
Joyeuses fêtes donc à tous les chiens de berger, soyez prêts, et merci à Légendat pour la qualité de tes écrits de ton site !
A bon entendeur
Voici un article qui m’a laissée songeuse. Je pense être clairement dans la catégorie « mouton » (j’aime la paix et la tranquillité)
Toutefois je suis vigilante, car mère de famille, et je sais gérer l’intendance (budget, provisions, bref le quotidien et un peu plus)
Il me manque sans doute un peu d’insouciance et d’optimisme (et de léthargie intellectuelle) pour être le mouton typique, je suppose.
Il ne faut pas négliger la force d’inertie du groupe « moutons ». C’est aussi une force… ce qui explique que le groupe » moutons » soit le plus fourni et le plus durable en tant que groupe (même si les individus qui le constituent sont faibles)
Le groupe « moutons » me fait penser aux troupeaux de gazelles : celles qui réchappent aux lions sont celles qui ne dépassent pas du troupeau, qui ne s’en démarquent pas. C’est une technique de survie qui privilégie la survie du groupe au détriment de celle d’individus.
Je pense aussi que ce qui empêche d’être un gardien n’est pas uniquement le manque de courage, de clairvoyance et de préparation, mais aussi une certaine indifférence à autrui.
Qu’en pensez-vous ?
Elie,
l’Afrique nous enseigne une chose commune à tous les reportages. On peut voir 10 000, que dis-je 100 000 buffles et un troupeau de 10 à 15 lions et surtout lionnes qui tournent autour. Les lions s’unissent pour manger, les buffles (et encore c’est parfois faux, c’est peut-être un des animaux qui se défend le plus, parce qu’il en a les moyens) s’enfuient une fois un congénère attrapé, car ils ne risquent plus rien, jusqu’à la prochaine fois, et à qui le tour. Ils pensent probablement que ça n’arrive qu’aux autres, eux aussi.
Les lions ne tuent pas par plaisir mais pour manger à l’inverse de l’humain qui peut faire les deux. Être nombreux et passifs n’a jamais sauvé les gens. Pour ne pas rappeler de souvenirs douloureux, ceux qui ont accepté par millions leur sorts il y a quelques décennies en sont une preuve flagrante. On monte vite dans un train on se conforme à la loi et au final…….on meurt dans des camps.
Ce qui vous fera devenir gardien, c’est avant tout un esprit de non conformisme et cela ne s’apprend pas ou plus. Une volonté de faire fonctionner ses neurones quand la vérité parait trop belle (et je ne parlerai pas de la crise du Covid) par exemple quand le nuage de Tchernobyl s’est arrêté à la frontière Italienne, nous disait-on en 1983 sans risque pour la population, nous disait on au 20h de TF1… La suite on la connait. C’est aussi la Foi en l’Humanité avec un grand H, et tous ses rêves…..être un gardien c’est faire partie des 5% des Français qui ont combattu les Allemands et Vichy, pas les autres qui s’en sont accommodés.Enfin ce n’est que mon avis. Mais vous avez raison tout le monde ne peut pas être un gardien, c’est un état d’esprit pas un métier et encore moins une vocation, c’est un chemin de vie.
Bientôt viendra le temps d’enfiler notre armure,
Et de bien aiguiser le fil de nos épées,
Quant à ceux qui s’habillent d’une robe de bure,
C’est une arme puissante qu’est votre chapelet,
La guerre est parfois sainte mais elle n’est jamais pure,
Et entre deux assauts il nous faudra prier,
Tout comme le bon vin d’une vigne bien mure,
Surement par nos mains le sang devra couler,
Le combat sera long et la vie sera dure,
Et nombreux parmis nous seront les trépassés,
Nous vaincrons l’ennemi cela est chose sure,
Car l’Archange Michel avance à nos côtés.
Merci, merci Legendat…je viens de passer quelques heures à vous lire, dans le silence de la nuit .
J’apprécie votre lucidité, sur l’insécurité, ses causes, votre juste mesure sur les moyens à mettre en place pour se protéger et protéger l’autre, sans se prendre pour un Ninja.
Je suis médecin, pratique assidument les arts martiaux depuis six décennies et j’ai toujours été un chien berger pour les miens…un Homme gris (c’est l’article que j’ai préféré). Sur l’âme chevalière, je vous conseille de lire les superbes romans de Mélanie Talcott intitulé « les Microbes de Dieu » et du même auteur « Le Métronome de nos âmes ».
Notre monde va mal, c’est ce que l’on croit à ce jour…mais ce n’est rien à côté de ce que je sens venir depuis plusieurs années. Au plaisir de vous lire.
Cordialement
Patrick’s O’nolan
Bonjour Patrick,
peut-être avez-vous la chance ou l’opportunité de vous former sur ce qu’on appelle les TCCC ou le TECC (secourisme de combat rapidement résumé). Il est vrai qu’en France cela n’est réservé qu’aux personnels soignants. Les civils ont le droit de mourir mais de se soigner les uns les autres en attendant l’éternel rengaine que « l’Etat s’occupe de tout ».
Je cherche néanmoins à me former à ces techniques, et je pense ne pas être le seul. Si vous avez des pistes, je suis preneur.
Au plaisir
Bonjour Xavier
Non, je n’ai pas fait cette formation là, mais j’ai été amené à travailler dans des conditions difficiles en Inde (durant 10 ans) et ailleurs (Guatemala etc…). Un des livres qui m’a beaucoup appris est « Survivre, comment vaincre en milieu hostile » de Xavier Maniguet. Voir aussi https://sofia.medicalistes.fr/spip/IMG/pdf/Epidemiologie_des_blessures_de_guerre.pdf
Cordialement
C’est le livre que je recommande, pour moi il n’y a pas mieux. Même si je ne suis pas médecin c’est un livre très facile à lire.