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Une guerre irrégulière, ou guérilla, se déclenche dans un pays lorsqu’une partie de la population est en sédition pour des motifs idéologiques, politiques ou religieux.
De façon réductrice, la guérilla est souvent envisagée comme une tactique de combat urbain ou comme un autre terme pour désigner une guerre civile. Un peu de tout cela est vrai, mais la vérité sur la nature profonde de la guérilla est bien plus complexe.
NB : je constate qu’un grand nombre de sites, forums et groupes survivalistes n’abordent pas les sujets brûlants de notre pays pour ne pas se mouiller. Mon avis est que se prétendre survivaliste sans avoir la compréhension du contexte dans lequel on vit est une aberration d’une stupidité abyssale.
Edit 12 heures après publication de cet article : certains ne sont visiblement pas capables de lire un article en entier avant de hurler au fascisme ou de proférer des menaces (qui ne resteront pas impunies). Je m’étonne, avec une certaine désolation, que l’amalgame entre islam et islamisme radical soit opéré par ceux-là mêmes qui présentent cette religion comme un modèle d’ouverture et de tolérance.
Étonnant aussi qu’une analyse de la stratégie de l’islam radical puisse à ce point ulcérer certains « bien-pensants » et de me voir expliquer que les atrocités commises au nom de cette religion sur notre territoire sont je cite « minimes« , « insignifiantes« , « anecdotiques » et qu’il faut regarder ailleurs.
J’ai une pensée pour toutes les victimes du terrorisme islamique qui sont trahies et bafouées par ce discours à vomir, ainsi que pour toutes celles et ceux qui combattent chaque jour cette idéologie par la plume ou par l’épée.
Résilience Urbaine traite tous les sujets qui présentent une menace pour la sécurité nationale et l’islam radical en fait partie.
Je rappelle à tous ceux qui souhaiteraient museler RU que : “le fait, pour toute personne, de présenter un contenu ou une activité comme étant illicite dans le but d’en obtenir le retrait ou d’en faire cesser la diffusion, alors qu’elle sait cette information inexacte, est puni d’une peine d’un an d’emprisonnement et de 15 000 EUR d’amende.” (Article 6, I, 4° de la loi 2004-575 du 21 juin 2004).
Bonne lecture !
Ce qu’est et ce que n’est pas la guérilla
La guérilla est le mode de combat du faible pour affaiblir le fort. Elle est menée dans l’attente du jour où une action armée de plus grande envergure sera possible et œuvre généralement au développement d’organes de soutien(s) politique(s) pour arriver à ses fins.
Les guérillas sont systématiquement soutenues par des puissances étrangères qui partagent leur idéologie ou leurs objectifs et cherchent à les propager. Ces soutiens sont plus ou moins discrets en fonction du contexte, mais ils sont toujours présents quel que soit leur but (soutien idéologique réel et/ou volonté de déstabilisation).
Il est primordial de comprendre que la guérilla n’est pas uniquement un ensemble de tactiques de combat. La guérilla, c’est une stratégie de conquête complète alliant propagande idéologique et tactiques d’engagement.
La guérilla est un feu à mille foyers qu’il est presque impossible d’éteindre.
La guérilla islamiste en France
Si la sonorité exotique du terme espagnol guerilla nous évoque plutôt les verts paysages de l’Amazonie, il est important de comprendre qu’une guérilla est aujourd’hui menée en France et que cela va s’aggraver encore dans les années à venir.
Le concept de guérilla a été revu et corrigé par le djihad islamique qui a ajouté la population autochtone à la liste des cibles à attaquer. A la différence des guérilleros « traditionnels » qui cherchent « seulement » à renverser le pouvoir établi et ont donc besoin du soutien de la population la plus large possible, les islamistes cherchent à éliminer un maximum de mécréants.
Tout ce qui leur est étranger (donc, tout ce qui nous est familier) doit être éliminé. Ils sont là pour détruire notre monde et le reconstruire à leur image.
La population qui les soutient n’est pas locale, mais importée. La natalité, l’endoctrinement et l’importation de cette nouvelle population sont donc étroitement surveillées et encouragées, afin d’assurer un basculement du rapport de force dans un timing acceptable (cinquante ans à un siècle maximum).
La population autochtone est maintenue dans la sidération par les actes de terreur et la propagande de la pensée unique universaliste qui lui interdit de se défendre.
Comme en témoigne le nombre exponentiel d’attaques de fanatiques islamistes, qu’il s’agisse d’agressions à mains nues, d’attaques au couteau, de la destruction de symboles ou d’actes terroristes de plus grande envergure, la guérilla islamiste s’enhardit d’année en année.
Car oui, le terrorisme n’est pas une forme de conflit en soi mais bien une tactique de guérilla. Les attentats, aussi meurtriers soient-ils, ne sont que des signes annonciateurs de quelque chose de bien plus terrible qui se trame dans les coulisses de notre pays.
Guérilla et terrorisme islamiste
Le terrorisme est une tactique de guérilla qui vise à propager la terreur, généralement par la violence aveugle, afin de promouvoir des objectifs politiques.
Notons que cela englobe le terrorisme islamique, qui vise bien à prendre le pouvoir politique en dépit du seul fanatisme religieux constamment mis en avant par les médias et le gouvernement. Avec l’islam, politique et religion sont les deux faces d’une même pièce. La vision du fanatique religieux dépourvu d’autre but que de rejoindre Allah dans un coup d’éclat est donc totalement fantaisiste.
La différence entre le djihad mené par l’islam radical avec les guérillas traditionnelles est sa dimension d’affrontement civilisationnel et l’appui d’un réseau mondial de cellules insurgées mais aussi d’Etats menant un double jeu politique (la Turquie en est le meilleur exemple).
La stratégie de conquête de l’islam radical s’appuie à la fois sur les actes terroristes mais aussi et surtout sur la démographie (la « conquête par les ventres »), les alliances politiques entre cellules insurgées et représentants politiques locaux (qui découlent des effets de conquête démographique) et une propagande d’inversion des valeurs (cycle terreur/victimisation déstabilisant la population native).
L’islam radical mène un jeu qui piège à la fois les kouffar (terme arabe à connotation péjorative désignant ceux qui ne sont pas croyants en l’islam) mais aussi la frange de population musulmane « de culture » qui s’est installée et intégrée en France pour vivre la France.
Tôt ou tard, cette population musulmane pacifique se verra obligée de choisir entre combattre l’islam conquérant de ses frères ou s’y soumettre. L’option « pas d’amalgame » actuelle n’aura plus cours, au risque de laisser Dieu reconnaître les siens…
Alors que les guérilleros européens et latino-américains se focalisaient essentiellement sur des cibles politiques et militaires, les islamistes s’attaquent à tous ceux et à tout ce qu’ils considèrent haram : du bébé au pompier en passant par les salles de concert ou les journaux satiriques, tout est bon à éliminer au nom de la charia et pour la gloire du prophète.
Nous vivons l’aube d’une guerre de civilisation.
Les objectifs politiques de la guérilla
Traditionnellement, les têtes pensantes de la guérilla consacrent autant de temps à l’instruction des troupes, à l’agitation sociale et à la propagande qu’aux combats, car leur objectif principal est de gagner l’approbation et le soutien de la population.
Dans le cas des islamistes, cette propagande s’articule sur le territoire national autour des lieux de cultes musulmans, des conférences théologiques, des associations diverses, des manifestations*, de la musique… l’objectif est de faire basculer les populations cibles (français d’origine étrangère, immigrés clandestins, jeunes de culture musulmane influençables, etc.) dans le djihad, qu’il soit intellectuel ou armé.
*Cf. la manifestation contre l’islamophobie, cas d’école en la matière.
Le rapport de force étant généralement insurmontable, la guérilla n’est en réalité pas menée dans le but de vaincre rapidement la force adverse mais plutôt dans l’optique de la déstabiliser politiquement et socialement.
Un peuple est un tissu social. Brisez-le et c’est la nation entière qui s’écroule. En France comme dans le reste de l’Europe, l’influence croissante des salafistes et l’émergence de mouvements séparatistes de toutes sortes (racialistes, indigénistes, féministes, etc.) n’annonce rien de bon en la matière, surtout qu’ils affichent tous le même objectif : détruire « l’homme blanc ».
Toutes les guérillas doivent finalement s’engager en politique pour gagner en visibilité, en crédibilité et arriver à leurs fins. C’est pour cette raison que les listes de candidats aux élections municipales et législatives contiennent de plus en plus de personnes « issues de la diversité ». Chaque élection remportée renforce la capacité à influer sur la vie locale… Petit à petit, le ver dévore le fruit.
Les étapes de la guérilla
Phase de propagande (absorption)
Objectif: sensibiliser, gagner la sympathie et obtenir des ressources.
À ce stade, les actes symboliques et les tentatives discrètes d’obtention d’armes et de fonds sont les plus courantes. Manifestations, attaques des bâtiments emblématiques ou assassinats ciblés sont des méthodes standard de démarrage.
La victimisation médiatique et associative est un point d’encrage majeur du développement de la propagande.
Le but de cette phase est de rallier le maximum de sympathisants à la cause, les actes de terrorisme aveugle sont donc à exclure (sauf, comme on l’a vu, dans le cas de figure où l’approbation d’une minorité en croissance est le but recherché).
La propagande est aujourd’hui massivement diffusée sur internet et les réseaux sociaux, se rendant invisible pour le plus grand nombre mais riche et accessible pour qui la cherche.
Notons qu’en dépit du bon sens et que pour des raisons électorales, les groupes insurgés trouvent une oreille attentive auprès d’une partie de la classe politique et des médias qui relaient leurs messages. La propagande de mouvements insurrectionnels ultra minoritaires bénéficie d’une exposition encore impensable à la fin du XXème siècle (le comité Traoré en est un exemple criant).
Phase de croissance stable (rassemblement)
En phase de croissance stable, les équipes de propagande intensifient leurs actions militantes et les troupes de combat sont suffisamment nombreuses, organisées et équipées pour être capables d’attirer ou de fixer les forces de l’ordre où elles le souhaitent.
Pour parler plus clairement, si les insurgés peuvent exercer suffisamment de pression sur une zone en particulier, ils peuvent empêcher le gouvernement d’y contrôler ce qui s’y passe mais également éloigner son attention d’une autre zone stratégique.
Une fois capable de dominer une zone géographique stratégique (par la nature de sa position et/ou de sa population), les insurgés sont en mesure d’augmenter leur approvisionnement et leur recrutement de manière exponentielle.
Les tactiques de guérilla sont adaptées à la défense ou au verrouillage d’une zone urbaine restreinte. Au Venezuela, le président Chavez a créé les « barrios de seguridad ». Des milices de quartiers ont été entrainées aux combats urbains et équipées par l’armée pour transformer Caracas en piège mortel au cas où les Etats-Unis auraient la mauvaise idée d’y entrer de force.
Cette stratégie est aujourd’hui mise à l’œuvre dans les cités dominées par des gangs de culture islamique qui assurent entre autres la circulation de la drogue et des armes sur le territoire (donc des capitaux également).
Les territoires perdus ne le sont pas pour tout le monde…
C’est en phase de rassemblement que les élites intellectuelles médiatisées de la guérilla pourront minimiser ou désavouer publiquement les actions des troupes de combat pour éviter de voir leur progression entravée par la réprobation populaire.
Phase d’assaut (fragmentation)
Les attaques passent du symbolique au stratégique et la propagande intensifie encore le rythme de ses manifestations et interventions médiatiques.
Dans les zones sous contrôle, les attaques contre les instances représentatives de l’Etat, les postes de police ou les casernes forcent les troupes gouvernementales à limiter leurs interventions où à les quitter purement et simplement pour éviter l’escalade du conflit.
Arrivé à ce stade, les instances politiques et les forces de l’ordre locales ont de toute façon été infiltrées au plus haut niveau par des membres de la guérilla et sont acquises à la cause ou ne peuvent plus fonctionner correctement.
Le but de la guérilla n’est pas de renverser immédiatement un État existant, cela serait totalement irréaliste. En créer un autre en parallèle est bien plus réaliste et efficace.
L’éclosion d’un nombre croissant de territoires instables ou en sédition totale qui viendraient casser la structure de la nation finirait invariablement par provoquer une guerre civile et par causer l’effondrement du pays et des structures gouvernementales, laissant alors le champ libre à l’insurrection pour conquérir par la force l’ensemble du territoire.
C’est la stratégie de fragmentation.
Le gouvernement face à la guérilla
Un gouvernement qui se trouve confronté à une guérilla a 2 choix, qui sont d’ailleurs fréquemment 2 phases successives :
- La combattre férocement pour l’annihiler tant qu’elle est encore embryonnaire : assassinat systématique des têtes pensantes et pacification par des purges brutales de poches d’insurgés.
- En cas d’échec de la phase 1, s’y soumettre subrepticement et progressivement pour se maintenir en place. Une fois que la guérilla a pris trop d’ampleur pour être éliminée de manière conventionnelle, agir par la force plongera irrémédiablement le pays dans une guerre civile. Dans ce cas de figure, le gouvernement peut entrer en collusion avec les insurgés mais il troque l’avenir du pays contre une paix temporaire, car la situation finira par exploser tôt ou tard.
Le cas de figure de la France et d’autres pays d’Europe, comme le Royaume-Uni, l’Allemagne ou encore la Suède est très complexe.
La croissance exponentielle de la néo-population insurrectionnelle et sa propagation sur l’ensemble du territoire rend impossible la localisation et l’identification formelle et exhaustive des insurgés et de leurs soutiens.
Sans même parler de volonté d’agir, la capacité des gouvernements à éliminer la menace intérieure qui ne cesse de croître est donc totalement entravée. Or il est impossible d’éliminer une cible qu’on n’arrive pas à identifier.
La souveraineté partagée
On constate aujourd’hui que la guérilla islamiste exerce son influence politique sur le territoire national, dont certaines zones sont déjà sous souveraineté partagée.
Sous accord de souveraineté partagée, l’État et les insurgés délimitent plus ou moins publiquement les zones qu’ils contrôlent et influencent. Les affrontements entre les deux camps sont minimes ou inexistants par volonté de maintenir le statu quo. Des institutions formelles, d’ordre politique ou religieux, sont mises en place pour garantir que chaque partie puisse contrôler son territoire sans conflit.
Le développement exponentiel de « zones de non-droit » (a.k.a « territoires perdus de la République ») et l’appel aux communautés locales de réguler la délinquance est symptomatique de la perte de contrôle de l’Etat, qui n’a plus d’autre choix que de se retirer de ces territoires en sédition.
La souveraineté partagée n’est souvent qu’une étape de respiration avant l’escalade des affrontements et l’accélération des manœuvres de conquête de la guérilla : elle permet aux insurgés de consolider leurs appuis (politiques, logistiques, financiers, etc.) et de peaufiner leur stratégie.
En fonction du gouvernement auquel elle fait face, l’intention de l’insurrection peut-être de gagner du temps pour lancer une action militaire d’envergure ou au contraire de progresser vers une alliance politique plus stable et plus directe.
La collusion
La collusion se produit lorsque l’État et les insurgés partagent le même territoire et coopèrent directement à une série d’activités politiques et militaires. Cela comprend le partage de renseignements sur les ennemis communs et même l’entraide dans des opérations militaires.
La collaboration du régime de Vichy avec l’Allemagne nazie est un exemple de collusion. Il faut garder à l’esprit que soumis à la pression d’une force sérieuse, le gouvernement n’agit pas systématiquement dans l’intérêt du peuple ; du moins, pas dans l’intérêt de tous les citoyens. C’est là que la fracture du tissu social et les tensions ethnico-religieuses révèlent toute leur dangerosité.
Les tactiques de guérilla
Sur le terrain, la guérilla met à l’œuvre des unités et des méthodes non conventionnelles. Elle utilise généralement de petits groupes de combattants (souvent des civils « dégourdis » ou formés sur le tas dans des camps d’entrainement sur place ou à l’étranger, d’ex membres des forces de l’ordre et d’ex militaires,) qui tendent des embuscades, posent des explosifs, commettent des assassinats, des attentats, etc.
En termes de conflit armé, la guérilla ne respecte aucun concept de ligne de front traditionnel. Son champ d’action géographique est indéterminé et illimité.
On est très loin des conditions d’engagements régulières et de la convention de Genève : tirer au lance-roquettes sur l’ennemi, le violer, le décapiter, le pendre par les tripes pour l’exemple ou massacrer ses enfants n’est pas un problème.
L’objectif de la guérilla est de causer le maximum de dommages à l’ennemi avec les ressources à portée de main et en prenant le moins de risques possible*.
*Notons que cette dernière consigne a été gommée du manuel du petit guérillero distribué aux djihadistes dans les camps d’entrainement du Moyen-Orient, ce qui les rend particulièrement dangereux : la mort ne les freine pas, elle est même source de gloire et de récompenses célestes.
Les groupes de combat de guérilla sont de petites unités très mobiles de 4 à 7 opérateurs qui se fondent dans le décor avant et après avoir frappé. Cela les rend très difficiles à identifier, à combattre et à éliminer. Leur objectif est bien sûr de faire autant de victimes que possible mais surtout de faire un travail de sape pour déstabiliser et affaiblir la partie adverse.
Les unités de guérilla se constituent généralement de la manière suivante :
- Des civils ou groupes de civils en rupture avec les mœurs, l’idéologie, la politique, la race ou la religion dominante.
- Des combattants étrangers envoyés tels des civils derrière les lignes ennemies afin de mener des opérations de déstabilisation et de prendre les armes le moment venu.
- Combinaison de A et B, avec des groupes de A généralement formés par des unités d’élite de B.
- Des traitres dans les rangs de l’armée et des FO de l’ennemi qui fournissent des cibles et sapent les opérations.
- Des gangs locaux (trafiquants d’armes, de drogue, d’êtres humains, etc.) qui apportent un soutien logistique aux cellules constituées par A, B, C et D.
Vous me direz si ça ressemble vaguement (ou pas) à un schéma que vous connaissez. Prenez le temps d’y réfléchir.
La guérilla utilise presque toujours de petites unités tactiques. Bien qu’il existe une organisation et une structure de commandement, les têtes pensantes ne sont jamais en contact direct avec les équipes de feu lorsqu’elles désignent une cible ou une mission hautement prioritaire.
Des commandants locaux généralement en charge de plusieurs équipes de feu décident des opérations quotidiennes. Une équipe de feu est composée de 4 à 7 pax qui n’ont pas de lien de parenté et qui ne se connaissent pas avant la création de la cellule. Le secret est plus ou moins étendu et respecté en fonction du professionnalisme de la cellule (noms de code, discrétion des déplacements, des communications, etc.).
Ce mode opératoire permet d’éviter qu’une enquête sur un membre de la cellule ne mène aux autres, mais également de limiter très fortement le risque de trahison interne.
Ces cellules terroristes indépendantes parfaitement formées au concept de l’homme gris en savent juste assez pour mener à bien leur mission mais pas assez pour mettre en danger leur hiérarchie ou d’autres cellules en cas de capture. Cela permet de ne pas exposer les plans des autres groupes de feu et de ne pas trahir d’éventuels liens et soutiens locaux.
Combattre le feu par le feu
Pour faire face à la guérilla, il faut d’abord comprendre qui la mène, comment elle est menée et où elle veut nous mener. Et pour la combattre, il faut être prêt à l’employer également.
Les techniques de guérilla peuvent permettre à des groupes de civils bien entraînés de se défendre contre des factions insurgées et des groupes de criminels militarisés.
Comme je l’évoquais dans mon article sur les causes et conséquences d’un effondrement en France, les gangs qui s’emparent de portions de territoires n’ont rien de nouveau, et les cartels sont souvent bien armés, bien équipés et bien renseignés.
En étudiant la stratégie d’ensemble et les tactiques de la guérilla, vous aurez plus de matière pour établir vos plans de défense et de fuite mais aussi et surtout pour comprendre la stratégie que ceux d’en face emploient contre vous.
Pas parce que vous voulez combattre, mais parce que vous le devrez peut-être, ne serait-ce que pour vous permettre de prendre la fuite. Personne n’a jamais souhaité faire la guerre, et pourtant des millions de noms sont gravés sur nos monuments aux morts.
Légendat
PS: Lisez mon article sur la conduite à tenir en cas d’attaque terroriste.
Bravo Légendat pour cette analyse hélas ultra lucide de la déliquescence dans laquelle est entrée notre pays. Jour après jour, on constate que le droit à la sûreté n’est plus garanti pour les citoyens et que les forces de l’ordre sont bridées dans leurs moyens d’intervention. Pire, elles ne sont même plus capables d’assurer leur propre survie ! Aux armes citoyens !!
Pas une minute à perdre pour s’équiper, il faut maintenant survivre . Et comme disent les militaires, être et durer.
On constate la réussite éclatante de cette guérilla tous les jours : impunité totales des crimes et délits commis par les allogènes, censure des critiques de la RATP, horaires décalés entre hommes et femmes, halal de fait dans les cantines scolaires, interdiction de certaines tenues vestimentaires, augmentation de l’enseignement de la langue de l’envahisseur, subventions déguisées à la construction de mosquée…Il est clair que la classe politique a définitivement entériné la séparation du territoire, séparation qui ne sera évidemment que provisoire, l’annexion totale étant l’objectif de l’ennemi. Certains partis ont carrément mis leur appareil au service de l’ennemi (EELV, LFI), espérant probablement se sauver par cette trahison. Tous les patriotes lucides savent ce qui va advenir. Il est extrêmement lourd de ne pas trouver beaucoup d’échos et de soutien, y compris dans sa famille proche.
100% d’accord avec cet article. Merci pour cette prose.
A ceux qui désespèrent, je n’ai qu’une seule réponse : préparez-vous et PARLEZ autour de vous pour sensibiliser les gens. L’endoctrinement est fort, beaucoup vous tourneront le dos. Mais au fur et à mesure que la situation pourrira, ils ouvriront les yeux et se souviendront de vos paroles.
Espérons qu’à ce moment il ne sera pas trop tard. Au moins nous, nous serons préparés.
Lisez et faites lire le rapport Obin : Il est officiel et public, et ouvrira les yeux aux plus aveugles.
Très bon article judicieux au possible et je ne vois pas ou se trouve le problème dans ce texte . Il n’est qu’une analyse de ce qui se passe aujourd’hui au France. Le nier c’est aggraver le problème , exactement ce qui se passe depuis 30 ans et lorsque le point de non retour sera atteint , la diplomatie ne servira plus à rien .A croire que les » bien pensants » veulent justement un bain de sang plutot qu’agir quand c’est encore possible et éviter ça … incompréhensible .
Analyse sans faille que l’actualité vient malheureusement une nouvelle fois de confirmer. Mais jusqu’où devrons-nous attendre avant que nos dirigeants énarqués formés avec nos impôts, bien-pensants de pacotille, journaleux hypocrites, donneurs de leçons des plateaux TV, amoureux naïfs du vivre ensemble, ou tout simplement citoyens bêlants qui rejoignent leur troupeau aussitôt que la nouvelle saison de Kohl-Lanta commence, ne subissent enfin un putain d’électrochoc et cessent de croire que nous pourrons vaincre ce fléau qu’est l’islamisme radical uniquement par des mots, de belles idées, de grandes théories, des lois inapplicables et inappliquées ? Combien encore de nos concitoyens vont se faire massacrer sous nos yeux, dans nos écoles, dans nos églises, dans nos commissariats, dans nos rues avant de dire STOP, ça suffit.
Sortez de l’ombre, dites tout haut ce que tant d’autres pensent tout bas, relayez auprès des sceptiques ou des endormis les vrais chiffres, les faits, la réalité, dites aux pleurnichards et aux sidérées du JT de se réveiller, forcez les accrocs des réseaux sociaux et du smartphone à sortir de leur léthargie numérique affligeante, faites jaillir cette verve patriotique qui est en vous et que nos valeureux ancêtres ont su déployer pour faire de la France non pas ce qu’elle est devenue, mais ce qu’elle devait être, mais qu’un ennemi sournois, lâche, abjecte, motivé par une idéologie religieuse décadente, est en train de nous prendre, chez nous, sur notre territoire, sur le sol de nos aïeux.
L’inaction est déjà une soumission.
A bon entendeur.
Jason
Analyse pleine de bon sens, l’Etat en achetant cette immonde « paix sociale » s’est lui même scié la branche sur lequel il était assis. Un laxisme endémique, à tous les niveaux, les fonctionnaires hésitant entre « la petite tape sur la main » à carrément fermer les yeux sur ce cancer de notre société qu’est l’islamisme radical.
Il y a 60 ans, on a déclaré la guerre au fascisme et au nazisme qui n’étaient même pas arrivé sur notre sol national, et aujourdh’ui alors que cette idéologie mortifère et extrémiste s’enracine profondément dans notre société, on laisse faire. Tous les politiques depuis 30 ans sont coupables de lâcheté et de haute trahison envers le peuple français. Pétain aussi avait acheter la paix sociale avec le moustachu, prêt à prostituer la France s’il le fallait. On sait comment ça s’est terminé.
Aujourd’hui on va d’égorgement en décapitation, en règlement de compte à l’arme automatique aux scènes ahurissantes de de guerrila urbaine en plein jour, et tous sont en rapport direct ou indirect avec cet islam radical qui prône l’extrême violence et le meurtre.
Les politiques ont vendu notre pays et se rendent compte qu’ils ne peuvent plus revenir en arrière, donc il se pourrait que ce soit bientôt aux civils et aux patriotes de s’armer afin de reconquérir leur pays, leur nation désormais, et à la milice de satisfaire ce besoin de sécurité, vital pour nos proches et nos familles qui vivent désormais sous le régime de la Terreur.
Bsr,
excellent article….toutefois il y a un petit bémol à ajouter:
-certaines personnes prétendent qu’il y a islam et islam radical comme si l’un et l’autre étaient différents, l’un légal et l’autre illégal ce qui est FAUX!
L’islam est INDISSOCIABLE!
Car dans le SEUL coran il y a plusieurs textes prônant la mort des non-croyants, apostats et non-musulmans:
Le coran dit que:
-les mécréants sont l’ennemi d’allah et des musulmans S8/V59-60
-que haïr à jamais ceux qui ne croient pas en allah et croient en autre chose est un bel exemple à suivre selon allah S60/V4
-de combattre ceux qui ne croient pas en allah ni au jour dernier S9/V29
-Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent (en se convertissant à l’islam), accomplissent la salat (la prière musulmane) et acquittent la zakat (l’impôt musulman), alors laissez-leur la voie libre, car allah est pardonneur et miséricordieux. » (S9, V14) : Combattez-les.
Sans omettre que les musulmans ont l’obligation « divine » de ne pas dénoncer leurs compatriotes « combattants de l’islam » sinon ils n’iront pas auprès d’allah.
@+
Chris je suis obligée de vous répondre tellement vous faites erreur. Sachez que les attentats terroristes dits islamistes n’ont rien à voir avec les versets du Coran que vous citez. Ces versets concernent les guerres de conquête de l’époque du prophète. Tous les musulmans le savent. Sinon, il n’y aurait plus aucun mécréant sur cette terre depuis longtemps si c’était une obligation. Il faut être logique et ne pas laisser l’émotion vous aveugler au point de perdre votre bon sens.
Les terroristes islamistes contemporains n’agissent pas au nom de l’Islam, la plupart sont des délinquants notoires qui ne connaissent rien à l’islam. Tout ceci est politique. Comment expliquez vous alors que ce terrorisme n’est apparu qu’il y a 50 ans, en même temps que la découverte du pétrole? Pourquoi pas avant.
Nous, musulmans, sommes aussi les cibles privilégiées des terroristes qui nous considèrent comme des traîtres. Leur idéologie mortifère ne différencie pas le mécréant du musulman lors de leurs attaques, elle vise juste à faire peur et destabiliser. Point.
Je suis encore étonnée de lire parfois ci et là que l’islam prônerait le terrorisme. Les savants de L’islam le condamnent. Le prophète en parlant d’eux disait qu’ils étaient les chiens de l’enfer et qu’il fallait obligatoirement les tuer. Pas les juger ou les emprisonner. Les tuer. Car ils n’agissent en rien au nom de l’islam mais pour des raisons politiques.
Oui, vous avez raison il n’y a pas d’islam modéré et d’Islam radical, il n’y a qu’un seul islam. Il y a par contre des pratiquants modérés et extrémistes. Et je m’étonne qu’avec toutes les technologies de pointe à leur disposition, les services secrets ne soient pas capables de prédire et stopper les attaques de ces derniers.
Bien à vous.
Bsr,
je vais répondre en plusieurs et d’ailleurs je vous remercie pour vos explications en mode cordial:
1)Vous me dites » Il faut être logique et ne pas laisser l’émotion vous aveugler au point de perdre votre bon sens. »
Non je n’ai pas perdu mon sens pragmatique et l’émotion je la laisse de côté mais…je tiens à ce que reste ma tête sur mes épaules!
2)Je vous cite « . Comment expliquez vous alors que ce terrorisme n’est apparu qu’il y a 50 ans, en même temps que la découverte du pétrole? Pourquoi pas avant. » Cette idéologie a été utilisée fin années 1970 par des islamistes radicaux pour justifier le passage à une violence politisée Source Les racines de l’islamisme radical > Histoire du terrorisme chez Fayard
3)Vous déclarez « Je suis encore étonnée de lire parfois ci et là que l’islam prônerait le terrorisme » les versets que j’ai cités sont suffisamment éloquents.
Regardez donc aussi les versets de la Sourate 4 comme celui du verset 5.33: « La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées.., »
Je pourrais employer ceux explicites contre la femme>SOURATE 2 : AL-BAQARAH (LA VACHE) Verset 223 + SOURATE 4 : AN-NISA Vesets 11, 23, 24
4)Alors oui je suis d’accord que l’islam est politique et que ceux voulant le pouvoir utilisent le coran pour manipuler des imbéciles et incultes pour tuer à leurs profits!
5)Vous affirmez « les services secrets ne soient pas capables de prédire et stopper les attaques de ces derniers » ce sont des gens cachés et tellement insignifiants, qui par le matraquage insidieux des textes du coran employés à escient et des paroles d’imams et guides auto-proclamés, l’esprit faible tombe dans la toile et passe aux actes!
Merci pour ce « brainstorming »
[Modération de Légendat : pas de liens externes, merci]
Alain Wagner explique en détail documents à l’appui la colonisation islamique en cours de l’Europe. Il révèle en autres la création de l’ISESCO qui décrit les étapes de cette colonisation, ainsi que l’OCI. Vous pouvez trouver facilement les conférences d’Alain Wagner sur internet. Nous pouvons y trouver l’expansion de l’islam depuis ses débuts, son déclin et sa renaissance, pour notre plus grand malheur.
« Nous pouvons y trouver l’expansion de l’islam depuis ses débuts, son déclin et sa renaissance, pour notre plus grand malheur. »
Sans compter l’aide apportée par les idiots utiles: féministes, politiciens pleutres et autres gauchistes opportunistes à leurs élections/ré-élections!
Les videos de Alain Wagner sont intéressantes (merci Nadia). L état laisse l OCI dérouler son plan. Et pire, cache la situation par une manipulation mediatique. Nos biens pensants ne se rendent compte de rien du tout. Pendant ce temps, de véritables forteresses de plus en plus imprenables se construisent dans les cités. Pourquoi les gouvernements d Europe laissent t ils faire à ce point ?
Pourquoi les gouvernements laissent-ils faire ? Mystère… En tout cas, c’est au minimum de la complaisance… et au pire de la complicité. Dans les 2 cas, ce sont des traitres et comme pour les crimes de trahison, ils méritent la cour martiale.
Mais ne nous trompons pas de combat : les politiciens élus, les journalistes, les syndicats, les fonctionnaires et les moutons qui suivent et appliquent bêtement les ordres… ne sont que des rouages (défaillants, mais des rouages).
Le véritable fléau, il est très bien décrit dans cet article.
Que celui qui a des oreilles, qu’il entende.
Merci Légendat pour tout ton excellent travail.